portraits de blues et de jazz
blues and jazz portraits

Peintures de portraits blues & jazz, acrylique sur fond de tonneaux de cognac
Portrait paintings blues & jazz, acrylic on barrel background

Peintures de portraits blues & jazz, huile et acrylique sur toiles
Portraits paintings blues & jazz, oil and acrylic on canvas

Peintures de portraitsblues & jazz, gouache et acrylique sur canson
Portraits paintings blues & jazz, gouache and acrylic on canson paper

Musicienne depuis son plus jeune âge, Sabine Eichler se destine pourtant aux arts plastiques.

De la musique à la peinture, il n’y a qu’un pas. Ce ne sont que des médiums pour exprimer ce qu’elle ressent au plus profond d’elle même.

Quand elle peint le portrait d’un chanteur, elle essaie d’exprimer ce sentiment de jouissance et d’extase que l’on éprouve en s’adonnant à la musique. Ce même sentiment que peut ressentir une danseuse qui défie les lois de la physique au point de s’envoler tout en oubliant la maîtrise du corps. L’expression, le mouvement de l’âme, ramené à son strict minimum. D’où le noir et blanc, les couleurs du blues et du jazz. 
Elle rentre dans le personnage en lisant sa biographie, en tournant autour, comme en atelier, avec un maximum d’iconographies et surtout en écoutant sa musique. N’est-ce pas dans leur musique qu’ils donnent le plus d’eux-mêmes ?

Ses gouaches sur canson noir, acryliques sur bois ou l’huile sur toile sont des portraits d’un dépouillement volontaire, qui retranscrit la personnalité des musiciens.

Au spectateur d’apprendre à écouter la musique qu’elle a dessinée. Un hymne à la lumière, au regard, aux expressions et bien évidement à la musique !

Sabine Eichler has been a musician since she was very young, but she was destined to become a painter.

From music to painting, there is only one step. They are only mediums to express what she feels deep inside herself.

When she paints the portrait of a singer, she tries to express that feeling of enjoyment and ecstasy that one experiences when indulging in music. The same feeling that can be felt by a dancer who defies the laws of physics to the point of flying away while forgetting the control of the body. The expression, the movement of the soul, reduced to its strict minimum. Hence the black and white, the colours of blues and jazz. She gets into the character by reading his biography, by going round it, as if in a workshop, with a maximum of iconography and above all by listening to his music. Is it not in their music that they give the most of themselves?

Her gouaches on black canson, acrylics on wood or oil on canvas are portraits of a deliberate simplicity, which transcribe the personality of the musicians.

It is up to the spectator to learn to listen to the music she has drawn. A hymn to the light, to the look, to the expressions and of course to the music!